Conférence internationale sur la décroissance – Budapest – 30 août-3 septembre 2016
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Après Paris en 2008, Barcelone en 2010, Venise en 2012 et Leipzig en 2014, Budapest accueille la cinquième conférence internationale sur la Décroissance du 30 août au 3 septembre 2016 à l’université Corvinus.
Nous vous invitons à suivre les différents appels à contributions sur www.budapest.degrowth.org. Cette conférence, d’abord académique, souhaite créer un espace de dialogue et d’ouverture avec des sessions spéciales, des plénières mais aussi différents types d’activités culturelles, artistiques, manuelles mais aussi politiques et militantes autour d’une semaine de la Décroissance. Budapest offre un réseau d’alternatives sur lequel s’appuie cette conférence.
Cette rencontre se tiendra dans un environnement post-socialiste. Nous espérons des rencontres et discussions enrichissantes à travers une mise en perspective entre un contexte sociale, économique et politique complexe et différentes approches, perceptions et expériences venant de différentes régions du monde.
Nous proposons une organisation régionale et participative dans le but d’initier des discussions, du dialogues et des expérimentations autour de la Décroissance dans la région. Nous avons déjà pu observer la pertinence d’une telle démarche l’année dernière lors d’une rencontre en Hongrie, puis à Vienne et dans les Balkans à l’automne dernier.
Cette rencontre s’inscrit dans la dynamique de la dernière conférence qui a réuni en septembre dernier à Leipzig plus de 3500 personnes de 74 nationalités. Enfin, puisque plusieurs précurseurs de la décroissance comme Karl Polanyi, Ivan Illich, Nicholas Georgescu Roegen ou André Gorz sont originaire de cette région.
Ainsi, en s’inspirant de Karl Polyani et de son fameux ouvrages, La Grande Transformation, nous nous questionnerons ensembles pour savoir si : la Décroissance peut-elle dessiner des chemins vers de nouvelles grandes transformations désirables ?
Pour plus d’infos et de discussions autour de cette conférence, retrouver l’émission sur Tilos radio avec Hu-lala à laquelle l’équipe d’organisation francophone a participé :
Rendez-vous à Budapest à la fin de l’été !
Soirée de lancement d’Alternatiba Alpes Maritimes 2015
Bonjour à toutes et à tous,
Nous avons le plaisir de vous inviter à la soirée de lancement du projet Alternatiba 06, le vendredi 17 avril prochain à 19h à la Zonmé, 7Bis Rue des Combattants en Afrique du Nord, 06000 Nice.
Le projet Alternatiba est un événement unique centré sur les enjeux climatiques avec en ligne de mire la COP 21 qui se déroulera à Paris en décembre 2015. L'objectif est de transformer pendant un weekend un quartier en un formidable village des alternatives où se déroulent ateliers, rencontres, expositions, démonstrations pratiques... Chaque institution, association, organisation, entreprise, citoyen... du territoire y a sa place pour mettre en lumière les solutions possibles répondant à l'urgence climatique.
Tout le monde est concerné !
C'est un événement unificateur, mobilisateur, organisé pour montrer que les solutions concrètes émanent, sans conteste, des alternatives diverses à notre société actuelle.
Cette première réunion du 17 avril vise dès maintenant à réunir les acteurs associatifs du territoire, les institutions, les citoyens et entreprises concernés par cette envie commune (et forte) d’une alternative permettant de lutter contre le changement climatique, et ce afin de pouvoir créer ensemble ce village des alternatives dans les Alpes Maritimes. Pour de plus amples informations sur l’événement, nous vous invitons à visiter le site internet : https://alternatiba.eu/alternatiba06
Participez à l'événement Alternatiba Alpes-Maritimes en vous inscrivant à ce formulaire :
DEMOKRATIA : Un documentaire citoyen pour balayer le vieux monde. [Pablo Girault et Thierry Kruger]
Soutenez la sortie du film : Démokratia : http://fr.ulule.com/film-demokratia/
SYNOPSIS
Demokratia, réalisé par Pablo Girault et Thierry Kruger, est un documentaire résolument citoyen. En explorant les champs politique et médiatique, fondations de nos « démocraties de marché », avec en toile de fond la lutte contre l’aéroport de Notre Dame des Landes où débat démocratique et information plurielle sont escamotés, les auteurs proposent, à travers un recueil de paroles d’hommes et de femmes libres, de réfléchir ensemble à la fondation d'une véritable démocratie.
Demokratia - BANDE ANNONCE par docutopie
INTENTION
Parce qu'un élu, qu'il soit député ou maire, doit être bien informé pour concourir à l’élaboration de bonnes lois.
Parce qu'un journaliste qui ne chercherait rien d’autre que la juste information concourrrait à former des citoyens éveillés désignant par là même des élus responsables.
Ce cercle vertueux où pouvoirs et médias seraient honnêtes et irréprochables nous amène à ce qui s'y oppose : pouvoir des lobbys, sentiment d'impuissance, hypertrophie de l'exécutif quant au politique, pression des intérêts marchands, des élus locaux, poursuite du buzz, manque de recul historique ou vacuité de l'analyse.
Pour faire ce film, les auteurs ont rencontré des personnes entières, déterminées à ce combat de tous les jours pour la liberté d'opinion, pour plus de justice sociale, pour que Nature et Humanité se réconcilient sans se détruire. Tous ont en commun d'être conscients de leurs responsabilités et des contradictions traversant leur démarche, mais en fin de compte, ils ont tracé leur chemin d'intégrité et de cohérence vers une société sachant se regarder en face, où personne n’est laissé sur le bord du chemin.
Le spectateur-citoyen retrouvera des élus, des journalistes, qui ont choisi de refuser de se contenter du monde qui les entoure et de s'en faire les aimables épistoliers, en préférant être au service du bien commun sans être formatés par la pensée unique.
Pour donner corps à notre démarche et sens à nos propos, nous sommes allés à la rencontre de Pierre Carles et René Vautier, deux des plus grands documentaristes français, pour un cinéma qui « a choisi son camp », tandis qu'un historien rappellera les origines de la démocratie et ce que nous semblons avoir perdu en chemin depuis la pensée des Lumières.
Dans une logique imparable mais non forcément attendue, le montage de ce film procède par touches, toujours soucieux de mettre en valeur le sujet par les choix des lieux et du cadrage. De plus, il emprunte sur la forme à nos deux précédentes réalisations, Sous les pavés, la terre (2009) et La possibilité d'être humain (2013). Un soin particulier a été apporté à la musique et le texte en voix off a été confié à Raoul Vaneigem.
DEMOKRATIA est un documentaire à la fois populaire et exigeant. Il est un de ces films nécessaires, comme la boussole par jour de tempête.
Au Rassemblement ZAD du Testet, le 25 Octobre avec le MOC
Le MOC tiendra un stand ; vous pourrez y retrouver nos publications, prendre des contacts…
Au nom de quoi sacrifie-t-on notre patrimoine écologique ?
Le barrage serait construit le long de la forêt de Sivens, en aval du lieu-dit de Barat, sur des Espaces Boisés Classés (EBC) et dans la zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). 29 hectares, soit 60% de l’emprise d’acquisition de la retenue (48 ha), sont boisés (friches, peupleraies, vergers de résineux, taillis…). Il ennoierait la zone humide du Testet, dernière zone humide d’importance du bassin versant du Tescou, qualifiée par la DREAL comme faisant « partie des zones humides majeures du département du point de vue de la biodiversité ». D’une capacité établie à 1,5 millions de m3, les mesures approximatives de la retenue seraient : 1,5 km de longueur, 230 m de large, 48 ha de surface d’emprise du projet, environ 4 m de profondeur à plein. La hauteur du mur au-dessus du terrain naturel serait de 12,8 m.
Ce projet, dans les cartons depuis environ 40 ans, est officiellement porté par le Conseil Général du Tarn, maître d’ouvrage, mais surtout par son maître d’ouvrage délégué, la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG), une Société d’ Economie Mixte chargée des aménagements hydrauliques et du « développement économique des zones rurales » (sic) dans le Sud-Ouest. C’est elle qui a mené une étude en 2001 (prétendument actualisée en 2009) et qui a conclu à la nécessité de construire ce barrage … dont elle propose tout naturellement de prendre en charge la construction. Les raisons invoquées (prétendument d’intérêt général) sont de deux ordres. D’une part, 30 % du volume de la retenue servirait au soutien au débit d’étiage du Tescou (débit minimum pour diluer les polluants). D’autre part, 70 % serait destiné à l’irrigation, au profit d’une vingtaine d’agriculteurs de la vallée du Tescou (avec prédominance du maïs, céréale particulièrement gourmandes en eau).
La pollution mise en avant concerne la laiterie Sodiaal à Montauban dont les rejets « hors-normes » évoqués en 2001 sont désormais maîtrisés depuis 2006 selon le Collectif du Testet. La CACG n’a pas tenu compte de cette nouvelle donnée dans son rapport présenté aux autorités et considéré comme l’étude de référence ayant entraîné le vote favorable des élus. Plus grave encore, la CACG n’a pas actualisé les besoins agricoles en irrigation dans son rapport de 2009. Elle affirme pourtant dans le Rapport d’enquête publique de 2012 que « la surface irriguée a diminué de 38% » sur « les communes du bassin du Tescou à l’amont de Montauban entre 2000 et 2010 ». Tendance qu’on retrouve d’ailleurs à l’échelle régionale, puisque les données officielles concernant Midi-Pyrénées montrent une baisse de la surface irriguée (- 23%) entre 2000 et 2007. Reconnaître ces deux faits reviendrait à avouer l’inutilité du projet de barrage aujourd’hui, en 2014. Or, confronté à la baisse des financements publics et à la diminution des contributions des irrigants (qui prélèvent moins d’eau), la CCAG a besoin de ce gros chantier pour asseoir son propre développement.
Un projet inutile et imposé au mépris des règles démocratiques de base !!!
sources : http://www.les-oc.info/2014/10/testet-25-octobre-avec-moc/
Anti Gaz de schiste au Sud de la France : Une mobilisation qui ne faiblit pas
Entre Argeliers et Mirepeisset, ils étaient plusieurs centaines à s’être retrouvés pour une marche contre les projets de travaux de recherche de gaz de schiste. Dans le collimateur : le permis de recherche d’hydrocarbures liquides ou gazeux dit des "Plaines du Languedoc" attribué par l’État, en 2009, à la société Lundin Petroleum. "Il expire en octobre prochain, explique Ania, du collectif Orb-Jaur. Nous nous mobilisons pour qu’il ne soit pas renouvelé !"
« Çà fait plus de deux cent ans qu’ils en cherchent, s’il y avait du pétrole, ils l’auraient déjà trouvé », rappèle-t-elle. En effet loin des projecteurs, le 2 octobre 2009, l’État accordait un permis d’exploration à la société Lundin International SA, filiale du groupe Lundin Petroleum, sur une superficie de 2 348 km², le permis des « Plaines du Languedoc ». De la Montagne Noire à Pézenas, en passant par les plages méditerranéennes et les coteaux du Minervois, l’entreprise était libre de procéder à l’exploration du sous-sol pour y déceler gaz ou pétrole dans les couches schisteuses. Comme ailleurs en France ce permis a été accordé sans aucune consultation de la population ni des élus. En témoigne une mobilisation des maires à ce rassemblement; Les maires de Bize (Alain Fabre), de Ginestas (Georges Combes) et d’Argeliers (Bernard Naudy) étaient présents. «Je n’ai vu personne venir à la mairie me demander l’autorisation. Je suis venu soutenir cette marche car je m’élève contre la fracturation et je ne donnerai pas l’autorisation. Ce serait une catastrophe pour le territoire, le tourisme et l’environnement» avance Alain Fabre.
Or les permis d’exploration ne durent que cinq ans et celui de Lundin Petroleum expire à l’automne 2014. Ruben, militant de la commune de Quarante, explique : « Début juin, les maires des communes d’Argeliers, Montouliers et Ginestas ont été approchés par la société Athemis France, chargée par la multinationale Lundin Petroleum de réaliser des relevés sismiques ». Puis un représentant de la multinationale est venu voir les élus pour les rassurer : « Nous ne sommes là que pour faire des relevés ».
Les pétroliers refusent de s’expliquer
Joint par téléphone, Alain Hontanx, directeur des opérations techniques chez Athemis France, répondait au journal Reporterre que « pour le moment, nous n’avons aucun mandat de la part de Lundin Petroleum. Adressez vous directement à eux sur toutes ces questions ». Mais l’entreprise suédoise ne souhaite pas nous parler.
Les sondeurs se taisent donc. Ce sont les militants qui expliquent de quoi il retourne. Ainsi, Pierre, de Pézenas (Hérault) détaille le procédé : « Il s’agit d’amener de gros camions, des sondeurs sismiques, aux quatre coins d’un terrain de plusieurs hectares. Ces camions envoient des ondes dans le sol en le frappant avec une masse mécanique et des ordinateurs récupèrent les échos des vibrations, un peu comme un sonar ». Ainsi l’on reconstitue les différentes couches du sol et l’on peut repérer gaz ou pétrole enfoui.
Mais tambouriner ainsi par terre n’est pas sans risque. En Pologne et en Roumanie, notamment, de telles actions ont pu ainsi provoquer des fissures importantes dans des habitations ainsi que l’effondrement de routes. « Pour l’éviter, dit Ruben, la communauté de communes Canal-Lirou, les municipalités d’Argeliers et de Quarante, entre autres, ont pris des arrêtés d’interdiction de la circulation des poids-lourds et de ces engins de mesures sismiques. »
Selon lui, « ces mesures constituent la troisième phase du plan de l’entreprise. Elle a déjà recoupé toutes les données historiques et préparé de nouvelles hypothèses. Et la phase suivante sera logiquement celle de l’exploration ». Et cette fois les dégâts sont beaucoup plus importants puisque pour mener l’exploration du sous-sol, on utilise la même technique que pour l’exploitation : la fameuse fracturation hydraulique.
Un procédé interdit… en théorie
La loi de 2011 est censée interdire ce procédé de fracturation hydraulique consistant en l’envoi de produits chimiques à haute pression à mille mètre sous terre pour faire exploser la roche et libérer le gaz ou le pétrole. Interdite donc, sauf en cas de recherche ou d’étude sur les quantités disponibles. Ania ajoute : « Suite à la loi, tous les industriels ont dû réaliser un rapport sur leurs pratiques expliquant qu’ils ne recourraient pas à la fracturation hydraulique et qu’ils se contenteraient d’exploitation conventionnelle » sans devoir fracturer la roche, juste en récupérant le pétrole qui jaillit du sous-sol.
Sauf que dans son rapport sur le permis des Plaines du Languedoc, l’industriel suédois précise que ses explorations pourront être réalisées « à quelques milliers de mètres de profondeur ». Pour les opposants, c’est la preuve que les intentions de l’entreprise sont tout autres.
sources : http://stopgazdeschiste.org et L’indépendant.fr la Dépêche et lire la suite sur Reporterre: Lundin, un pétrolier qui s’entend avec les dictatures
Notre-Dame-des-Landes [Hervé Kempf]
Voici un livre qui tombe à point nommé. Alors que nombre de médias n’ont retenu de la manifestation des opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes que des images de violence, cet ouvrage nous invite à prendre du recul, afin de mieux mesurer les enjeux relatifs à cette affaire. Au-delà du débat entre « pro » et « anti » aéroports, ce sont deux visions du monde qui s’affrontent : l’une, issue du modèle de développement des 30 Glorieuses qui prône le toujours plus, et l’autre, consciente de la transformation de notre monde, qui doit faire face au changement climatique, à la raréfaction des terres agricoles, à l’augmentation de la pauvreté. Cette enquête très détaillée replace la polémique dans son contexte historique et présente longuement les différents acteurs tant du côté de l’opposition et de ses différentes composantes, que du côté des institutionnels : des cabanes de la ZAD où l’on expérimente un nouveau mode de vie empreint de liberté, aux arcanes du pouvoir où règnent des relations troubles entre certains hauts fonctionnaires et les milieux d’affaires concernés par ce projet… Hervé Kempf qui fut journaliste au Monde et qui est aujourd’hui rédacteur en chef de Reporterre nous livre là une information approfondie qui nous emmène loin des clichés.
Les inscriptions à l’AlterTour 2014 sont ouvertes !
Nous avons le plaisir de vous annoncer que la 7ème édition de l’AlterTour se déroulera du 12 juillet au 17 août 2014. Il passera par la Haute-Loire, le Puy-de-Dome, le Cantal, la Corrèze, la Haute-Vienne, la Creuse, la Dordogne, la Charente, la Vienne, les Deux-Sèvres et la Charente-Maritime. Le thème de cette année est : “Travailler, Pour Qui ? PourQuoi ?” Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 juin 2014 sur le site internet de l’AlterTour : Accès au parcours Aider nous à faire connaître l’AlterTour : • Parlez-en autour de vous. |
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Le numéro de juin 2014 de la revue S!lence est consacré aux voyages lents et contiendra le recueil des Alternatives rencontrées cette année. • Venez pédaler, goûter à l’autogestion, partager une belle tranche de vie collective dans la simplicité volontaire ! |
7e AlterVillage d’Attac du dimanche 27 juillet au dimanche 3 août 2014 à Saillans
Cette année c'est la Drôme qui accueille l’AlterVillage.
Les tentes et les gamelles se poseront, du dimanche 27 juillet au dimanche 3 août, dans un champ de la commune de Saillans.
- INFORMATIONS PRATIQUES
- PROGRAMME DE L’ALTERVILLAGE (en cours de finition)
- FORMULAIRE D’INSCRIPTION
Cette année, l’AlterVillage sera l’occasion de débattre autour du féminisme, de l’habitat partagé, des nos pratiques alimentaires, de la monnaie locale, du recyclage d’objets et même du téléphone portable...
Un point sera fait sur des luttes altermondialistes d’actualité comme le Grand marché transatlantique, les gaz de schiste ou la campagne Requin d’Attac France.
Vous pourrez également vous initier à l’écriture, à la création de fours solaires en carton, à la pratique du théâtre-forum ou à celle des clowns activistes.
Enfin, en soirée, vous pourrez jouer à des jeux coopératifs, assister à des projections en plein-air, des danses, des lectures et des improvisations.
Avant que l'emploi du temps ne soit définitivement arrêté, voici déjà, ci-dessous, la liste des 28 activités proposées, en plus du « marché des connaissances » du jeudi 31 juillet après-midi et du « forum ouvert » du vendredi 1er août après-midi :
L’expérience des municipales à Saillans
Caféministe (2 sessions)
Construction d’un four solaire (2 sessions)
Habitat partagé
Découverte de la permaculture
Attac et la Transition
Les monnaies locales
Théâtre-forum (3 sessions)
Alimentation et engagement militant
Atelier d’écriture (2 sessions)
Brigade activiste des clowns (3 sessions)
Les résistances locales face à l’offensive néolibérale
Les pratiques de la démocratie locale
Les Incroyables comestibles
Les combats contre le Grand marché transatlantique
Les gaz de schiste
La fiscalité verte
Le progrès et le téléphone portable sont-ils nécessaires au bonheur ?
Artivisme
Le Musée du capitalisme
Lutter contre les multinationales (à partir de l'exemple la campagne « Requins » d’Attac France)
Rencontre nationale des jardins partagés
Le 4 juillet 2014 à Lille
Le réseau national des jardins partagés (JTSE) invite jardiniers et porteurs de projet à participer à une journée de rencontres et d’échanges entre acteurs des jardins partagés.
Retrouvons-nous au Jardin des Drôles d’Waz’eaux à Lille le 4 juillet pour enrichir ensemble la dynamique nationale de nos jardins, accueillis par l’association des Amis des Jardins Ouverts et Néanmoins Clôturés (A.J.O.N.C.)
Au programme
- Echanges d’expériences
- Présentation de la charte La terre en partage
- Repas partagé (apportez une spécialité de votre région à manger ou à boire) - Four à pain - Musique
- Découverte de jardins partagés à vélo, en métro ou en voiture
- Fête en soirée au Jardin des Re)trouvailles (lectures musicales, grillades, bar bio...)
- Possibilité de prolonger la journée le lendemain avec d’autres fêtes sur d’autres jardins...
Informations
- Le vendredi 4 juillet 2014 à partir de 10h
- Jardin des Drôles d’Waz’eaux, rue de l’Hôpital St-Roch à Lille-Wazemmes.
- Possibilité d’être hébergé chez l’habitant
- Renseignements sur l’accueil et la programmation : A.J.O.N.C - 03 28 550 330
3e Foire à l’autogestion, les 28 et 29 juin 2014
La crise économique et financière qui ébranle le monde est aussi une crise de civilisation, face à laquelle les réponses habituelles, néolibérales comme étatistes, sont impuissantes. L’autogestion peut constituer une alternative. Comme chaque année depuis 2012, elle sera au centre d’un événement festif et populaire le week-end des 28 et 29 juin : la Foire à l’autogestion.
Phénomène planétaire, l’autogestion s’inscrit dans la longue tradition historique des coopératives et des « récupérations d’entreprises », de la Commune de Paris au Printemps de Prague, de la Révolution espagnole à la Pologne d’août 1980, de Lip à l’Argentinazo en 2001. Elle apparaît dans les luttes sporadiques pour la reprise en main d’entreprises menacées de fermeture. Elle imprègne également les pratiques alternatives, de la réappropriation collective de l’habitat au lien direct avec les paysans et les producteurs.
Ces différentes expériences partagent un horizon commun : décider collectivement des affaires communes, sans déléguer à des dirigeants, aussi bien sur le plan économique que politique. Reprendre en main la production, c’est aussi pouvoir transformer ses modalités et ses finalités. Ancrée dans des pratiques concrètes, portée comme un projet global, l’autogestion est ainsi une réponse possible à la faillite du système capitaliste et étatiste.
La Foire à l’autogestion est le point de rencontre de toute une galaxie de collectifs, d’associations, d’entreprises, de coopératives, d’organisations syndicales et politiques qui cherchent à faire vivre l’idée d’autogestion.
Sa 3e édition aura lieu le week-end du 28-29 juin 2014 à Montreuil (93), sur le site de la Parole errante, avec des stands, des espaces de débat retransmis à la radio, des projections de films, un concert, une librairie, un espace enfants, des ateliers pratiques…
Nous invitons toutes les personnes, organisations, syndicats, associations, entreprises, coopératives, etc. revendiquant et pratiquant l’autogestion à s’y associer.