Prochaine Vélorution! – Samedi 7 Avril 2012
http://velorution06.wordpress.com
Samedi 7 Avril 2012 prochaine vélorution à Nice !
Rendez vous est pris pour ce début Avril a 14h en place Garibaldi pour la prochaine vélorution a Nice
La vélorution du 7 avril monte en direction du quartier de l’Ariane pour tester la “cyclabilité” du trajet.
Avant de départ : atelier révisions-bricoles de vélo de 13h30 à 14h30 sur la place Garibaldi.
Pour la route : prévoir de quoi faire une pause casse croute et à boire… de l’eau aussi.
Pour être au courant des informations sur la vélorution à Nice n’hésitez pas à vous inscrire à la liste de diffusion en visitant l’adresse suivante : http://ml.velorution.org/wws/info/nice.forum
Les slogans vélorutionnaires : http://velorutionlyon.free.fr/article.php3?id_article=4
Candidats pro-nucléaires : af…fichons-leur la honte !
Sur Sortir du nucléaire : http://groupes.sortirdunucleaire.org/Faites-vous-entendre
Faites-vous entendre lors de la campagne électorale ! Non au nucléaire!!!!
Tout au long de la période des élections présidentielles et législatives, soyons présents dans le débat pour rappeler l’urgence de la sortie du nucléaire !
C’est bien connu, à la télé, on ne peut pas dire la vérité : trop de monde regarde. Et en campagne présidentielle alors ? Et si nous faisions dire à "nos" chers candidats ce qu’ils n’expriment pas toujours sur le nucléaire ? Chiche !
Contre les publicités sexistes
La publicité exploite le corps des femmes pour susciter du désir, générer de l’envie, exacerber les frustrations et rendre le produit à vendre "appétant". Soumise aux normes aliénantes d’une beauté stéréotypée, symbole du plaisir sexuel, ou encensant la ménagère passive cantonnée dans sa cuisine, l’image des femmes n’a jamais été autant instrumentalisée. Omniprésentes et conçues pour marquer les esprits, ces représentations modèlent notre imaginaire et participent à la construction des normes de genre : d’un côté, la féminité associée à la jeunesse, à la beauté et à la maternité et, de l’autre, la virilité à la force, à la puissance et à l’action. Loin d’être un art, tout sauf inoffensive –c’est-à-dire perçue au second degré par des consommateurs responsables –, la publicité véhicule les pires clichés sexistes et renforce la domination patriarcale.
Les auteurs : Sophie Pietrucci, Chris Vientiane et Aude Vincent sont militantes féministes au sein du Collectif contre le publisexisme qui existe depuis 2001.
Édition L’Échapée
La règle verte
INTERVENTION DE PAUL ARIÈS
LE 5 AVRIL AU BLANC-MESNIL (Seine-Saint-Denis)
Salle des réceptions de l’Hôtel de Ville
Thème : Qu’allons-nous léguer à nos enfants ?
Quelles alternatives face au capitalisme vert ?
Objection de croissance et gratuité des services publics
Appel des gauches antiproductivistes et objectrices de croissance à voter pour Jean-Luc Mélenchon
L’urgence écologique, sociale et politique nous interdit de nous taire même si nous ne nous retrouvons pas pleinement dans le programme du Front de gauche… qui n’est pas un projet encore assez de rupture. Nous militant(e)s, objecteurs de croissance, antiproductivistes, anticonsuméristes, « écolos » antilibéraux, adeptes de la décroissance de gauche soutenons et invitons Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, à faire croître le débat autour de 4 grands thèmes :
1) Sortir de l’appauvrissement des peuples
Les modes de production et de consommation capitalistes sont suicidaires et reposent sur l’exploitation et la domination du Tiers-Monde. Notre enrichissement et nos modes de vie sont aussi la cause de leur appauvrissement croissant. Ce pillage joue dans les pays riches dans lesquels le nombre de naufragés ne cesse d’augmenter. Nous voulons « plus » pour ceux qui ont eu « moins ». Osons l’annulation des dettes du Tiers-monde. Osons le réexamen des dettes publiques.
2) Construire une société post-extractiviste
Cette économie fondée sur le pétrole nous conduit écologiquement dans le mur. Les pauvres en seront les premières victimes. Nous prônons les économies d’énergie et les énergies renouvelables mais en disant qu’il ne peut s’agir de remplacer le pétrole et le nucléaire par un mix énergétique qui permettrait de sauver les modes de production et de vie actuels…Nous devons inventer ensemble d’autres styles de vie. Osons la relocalisation des activités. Osons le ralentissement, osons la planification écologique, osons la coopération, osons dire qu’être fidèles au projet « Yasuni-ITT », c’est, chez nous aussi, laisser dans le sous-sol les réserves les plus rares ou dangereuses.
3) Sortir du capitalisme
Gauche et droite partagent le même bilan effroyable en matière environnementale. Ces deux systèmes ont pillé la planète pour nourrir leur machine productiviste. Mais si le capitalisme est intrinsèquement productiviste, on peut imaginer un socialisme non-productiviste. Nous avons besoin pour cela d’une vraie gauche écologique qui en finisse avec la foi béate dans le « progrès » économique et la techno-science. Osons une gauche qui sache renouer avec les cultures et les modes de vie populaires. Osons mener la lutte des classes dans le domaine de la consommation comme dans celui de la production. Osons une science citoyenne. Osons multiplier les expérimentations sociales. Inventons un « éco-socialisme » municipal. Réinventons un syndicalisme à bases multiples de rupture.
Créons un mouvement coopératif à la hauteur de l’effondrement global qui vient. Inventons de nouveaux modes de délibération où des citoyens dûment informés et indemnes de compromissions indiqueront ce qu’est l’intérêt public, ce qui est bon pour l’écrasante majorité.
4) Construire une société du Bien-Vivre
Nous sommes à l’écoute de tous les nouveaux « gros » mots qui se cherchent à l’échelle mondiale pour dire le besoin d’émancipation : le Buen-vivir amerindien, l’eudémonia (la vie bonne) des grecs, « les nouveaux jours heureux », etc. Le Bien-vivre n’est pas le bien-être au sens de la société de consommation occidentale. Osons changer notre rapport aux autres, à nous-mêmes. Osons changer nos rapports à la nature. Puisque les services publics sont la principale richesse des pauvres, faisons de la défense et de l’extension de la sphère de la gratuité, une gratuité économiquement, socialement, culturellement, politiquement construite, notre grand projet. Osons dire qu’on pourra ne plus être des forçats du travail et de la consommation que si la société assure à chacun de quoi vivre frugalement certes mais de façon totalement sécurisée et digne. Osons dire que la France mais aussi la planète sont déjà assez riches pour faire vivre tous ses enfants. Osons dire que ce n’est pas un problème de moyens (de grosseur du gâteau) mais de choix politiques. Osons dire qu’il ne s’agit pas de partager le
gâteau actuel (PIB) car il est totalement empoisonné. Osons dire que la crise écologique nous interdit de refouler encore la grande question historique qui est celle du partage.
C’est pour toutes ces raisons et mille autres que nous voulons faire entendre notre voix dans la campagne unitaire du Front de gauche… Nous y serons présents avec notre spécificité pour y défendre notre conception d’une gauche écologiste, d’une gauche anticapitaliste et antiproductiviste, d’une gauche du Bien-vivre. Notre diversité est notre grande richesse.
Auteurs :
Paul Ariès, directeur de la rédaction le sarkophage
Jacques Testart, biologiste
Les signataires de l’Appel pour un Front de gauche antiproductiviste et objecteur de croissance (et ceux qui s’abstiennent encore) attendaient un signe fort de Jean-Luc Mélenchon. La « règle verte » proposée lors du Meeting de Clermont-Ferrand est une bonne nouvelle. Elle doit être prise très au sérieux comme un des leviers de la transformation nécessaire. Elle montre que ce n’est que dans l’alliance du « rouge » et du « vert » que de grandes idées peuvent émerger et ceci de tous côtés, sans aucune exclusive, sans aucun droit de préséance. Non seulement tout le monde a le droit de parler d’écologie mais c’est même un devoir ! Par Paul Ariès.
Cette « règle verte » vise rien de moins que le remboursement de la dette écologique de notre pays vis-à-vis du reste du monde et de nos enfants. Elle oblige à sortir du productivisme et du consumérisme, à avancer vers une société relocalisée, ralentie, partageuse, gourmande.
La France présente un bilan débiteur car son empreinte écologique dépasse largement sa bio-capacité. Autrement dit nous consommons globalement beaucoup plus que ce que la Terre peut supporter et ceci au détriment des plus pauvres et des générations à venir. Nous devons donc réduire d’environ 60 % notre empreinte écologique et c’est possible. C’est possible car cette « règle verte » n’ira pas sans justice sociale : il faut dans ce domaine aussi donner plus à ceux (classes sociales ou peuples) qui ont eu moins dans le passé. C’est aux riches qui détruisent la planète de payer la dette écologique et la dette financière. Ceux qui peinent à boucler leur budget auront tout à gagner à l’adoption de cette « règle verte ».
C’est possible car cette « règle verte » n’ira pas sans repenser les modes de production, de distribution et les styles de vie. Il ne s’agira surtout pas de faire la
même chose en moins et d’appeler les gens à se serrer la ceinture un peu, beaucoup, passionnément ou à la folie. Nous devons satisfaire en premier lieu (pour
le reste on verra) les « produits de haute nécessité ».
La « règle verte » est l’obligation ardente de changer de société et ce n’est pas triste.
Elle dit bien qu’il ne s’agit pas de polluer un peu moins pour pouvoir polluer plus longtemps…mais d’apprendre ensemble à vivre beaucoup mieux autrement.
Nous pouvons déjà réfléchir aux changements législatifs nécessaires pour que ce principe constitutionnel ne reste pas un vœu pieu. Nous pouvons pour cela
nous inspirer des propositions faites par de nombreuses associations et dans le livre de l’Altergouvernement (Muscadier).
EP.20 - En marche : La règle verte par PlaceauPeuple
1) Réduction drastique de l’agression publicitaire et marketing en faisant primer le droit des consommateurs et des usagers à être protégé sur celui des marchands. Est-il normal que 40 %des dispositifs publicitaires actuels soient illégaux ? La cause en est bien connue : le laxisme des autorités et le flou des textes. Notre réforme reprendra les revendications avancées par les associations : suppression de la publicité au cinéma ; maintien de l’interdiction de la publicité sur les chaînes publiques ; interdiction de la publicité pendant les tranches ciblant les moins de 12 ans, interdiction de toute publicité dans les établissements scolaires, ainsi que dans un périmètre de 200 mètres ; Interdiction des panneaux publicitaires dépassant la taille 50 X 70 cm, avec un nombre maximal autorisé par km2 selon la densité du quartier ou de la ville, interdiction des kits pédagogiques publicitaires, extinction des lumières des magasins lors de leurs horaires de fermeture, interdiction des contrats conditionnant des services aux collectivités à de la publicité (vélos-libre service par exemple).
2) Diminution des déchets à la source et politiques favorisant la réparation des objets. Seuls 7 % de la matière qui a servi à fabriquer un produit se retrouve
dans celui-ci. Le reste est perdu contribuant ainsi à l’épuisement des ressources et à la pollution. C’est finalement 99% des ressources prélevées qui deviennent ainsi des déchets en moins de 42 jours. La quantité de déchets produits par les ménages a été multiplié par 3 en 50 ans pour atteindre 350 kg par an et par ménages. Les gouvernements précédents ont accepté cette situation intolérable laissant des entreprises privées s’enrichir sur la base du retraitement de certains de nos déchets. Des mesures urgentes doivent êtres prises : fixation d’objectifs de diminution des volumes d’emballage et d’usage des matières premières par branches d’activité, extension des durées de garantie minimale pour les biens matériels et ceci sur toutes les pièces, obligation aux constructeurs de laisser l’accès libre aux composants, interdiction de développer des stratégies d’obsolescence programmée, priorité donnée à la réparation avec mise en place de filières spécifiques par catégories de produits, utilisation de l’expertise d’associations existantes , mise en place d’incitations tarifaires de type « consignes », interdiction des emballages immédiatement jetables (type restauration rapide), mesures pour faciliter la « vente en vrac », remise de bons d’achat à la hauteur de la valeur de la matière première rapportée lorsque l’usager d’un produit contribuera à son recyclage, etc, création d’un nouveau corps de fonctionnaires spécialisés pour combattre la « junkproduction », etc.
Cette règle verte est aussi un signal fort donné à toute la gauche pour repenser ses initiatives. Nous devons , par exemple, en finir avec des comités d’entreprise qui fonctionnent trop sur le modèle des marchands de voyage (« toujours plus loin pour toujours moins cher ») et inventer un nouveau tourisme social dont témoigne, par exemple, le succès d’Accueil paysan auprès de CE. Les milieux populaires ont tout à gagner à cette « règle verte » proposée par le Front de Gauche car elle ira de pair avec la réduction du temps de travail (les 32 heures tout de suite), avec la défense des services publics et des biens communs, la seule véritable richesse de la majorité des humains.
Sortir de la bio industrielle : une urgence sociale ! [Philippe Baqué]
À paraître le 18/05/2012
La Bio, entre business et projet de société
Sous la direction de Philippe Baqué
Ce livre collectif est l’aboutissement du travail de journalistes, sociologues, agronomes et paysans. Certains ont mené des enquêtes de terrain en Amérique, en Afrique, au Proche-Orient et en Europe, d’autres se sont inspirés de leurs propres expériences. Ils nourrissent la critique du « bio-business » mais montrent surtout comment des paysans mettent en pratique les principes fondamentaux de l’agriculture bio et proposent des alternatives à un modèle de société dominant et destructeur.
« Des paysans qui vendent leurs produits bio, avec une réflexion sur un prix juste, sur des marchés de plein vent ou au sein d’Amap. De l’autre côté, une enseigne de la grande distribution qui propose des produits bio importés de l’autre bout du monde, au bilan carbone catastrophique, cultivés par des ouvriers sous-payés et revendus entre cinq et dix fois leurs prix d’achat.
Plutôt qu’une démarche globale, indissociablement écologique, sociale et politique, peut-on réduire la bio à une distribution d’aliments sans pesticides pour consommateurs soucieux de leur santé ? La bio peut-elle se mettre au service du “bien-être” d’une partie de la population sans ébranler les fondements d’une société fondée sur le “mal-avoir” ? »
Avec : Philippe Baqué, auteur du dossier « Sortir de la bio industrielle : une urgence sociale ! » de la revue Silence ; Patrick Hermann, paysan-journaliste et Michel Besson, directeur de l’association Minga (Agir ensemble pour une économie équitable).
http://www.alterravia.com/cariboost_files/Articles_20Silence_20Novembre_202010.pdf
http://www.monde-diplomatique.fr/2011/02/BAQUE/20129
Appel de l'association Alterravia, pour la réalisation d'un livre collectif : "De la bio alternatives aux dérives du "bio"-business, quel sens donner à la bio ?"
En finir avec le nucléaire : pourquoi et comment [Bernard Laponche, Benjamin Dessus]
Ce livre démontre la nécessité et la possibilité d’en finir avec le nucléaire.
Il commence par réfuter les arguments spécieux de ses partisans sur l’indépendance énergétique prétendue ; sur la sûreté et la sécurité, qui seraient un privilège unique de la technologie nucléaire française ; sur le coût du kWh nucléaire, largement sous-évalué ; sur les marchés étrangers juteux, fortement surestimés ; sur le contrôle grâce au nucléaire des émissions de gaz à effet de serre, marginal ; sur la question des déchets, nullement réglée. Il expose les raisons pour lesquelles il faut en sortir : le risque inacceptable d’un accident majeur dont les conséquences catastrophiques sont révélées par Tchernobyl et Fukushima ; la production de déchets radioactifs extrêmement dangereux pour des siècles et des millénaires ; l’utilisation et la diffusion de techniques permettant la prolifération des armes nucléaires. Il replace ensuite la sortie du nucléaire dans le cadre d’une transition énergétioque que les inégalités de la consommation mondiale et les problèmes écologiques globaux rendent indispensable.
Alors que la situation singulière de notre pays nous mène à l’isolement et à l’impasse, les auteurs proposent un scénario raisonné de sortie du nucléaire, fondé sur un autre mode de consommation et de production de l’électricité, et discutent les conditions politiques et sociales de la transition.
Sur Terre à terre par Ruth Stégassy (France Culture)
Avec : Bernard Laponche, consultant international dans le domaine de l'énergie et Benjamin Dessus, président de Global Chance, association d'experts indépendants dans le domaine de l'environnement et de l'énergie, coauteurs de « En finir avec le nucléaire : pourquoi et comment » (Le Seuil, 2011).
Projection/Débat : Simplicité volontaire et décroissance (réflexions)
Le Réseau Objection de Croissance des Alpes-Maritimes vous invite à assister à la projection du film
« Simplicité volontaire et décroissance 1 » de Jean-Claude Decourt
http://www.utopimages.org/spip.php?article1
Durée 60 min.
La projection sera suivie d'un débat/discussion.
Vendredi 13 avril 2012 à 18h30
à la Falabrac Fabrik, 3 rue Benoit Bunico, Vieux Nice
Réseau Objection de Croissance des Alpes-Maritimes : www.roc06.fr
Informations sur la soirée : sfrelin[at]gmail.com
INTO ETERNITY
Le chantier d'un sanctuaire conçu pour durer cent mille ans. Creusée dans le nord de la Finlande, à Onkalo, cette gigantesque grotte abritera des déchets nucléaires. S'adressant aux générations futures, ce documentaire en forme de film de science-fiction montre ces travaux gigantesques - cinq kilomètres de galeries plongeant 500 mètres sous terre - et pose la problématique de l'élimination des déchets radioactifs sous l'angle de la temporalité. Impliquant une responsabilité millénaire, celle-ci nous oblige à adopter une autre échelle de durée.
Quelle folie, quelle société, quel système peut engager, pour des millénaires, des générations de femmes et d'hommes à l'horreur du nucléaire. Des composés hautement radioactifs, et ayant des masse critique de l'ordre d'une dixaine de kilo ont une durée de vie de 24000 ans (PU239), à peut près autant de temps qui nous sépare de l'homme de Néandertal.
Certain comme le Neptunium 237 (NU237) on une période de 2 144 000 ans autant de temps qui nous sépare de notre très très lointain ancêtre l' Australopithecus afarensis, une espèce éteinte d'Hominidé bipède ayant vécu en Afrique entre environ 4,1 et 3 millions d'années dont le plus beau spécimen est Lucy.
La période, ou plutôt demi-période est le temps qu'il faut à une quantité radioactive d'être, non pas plus du tout radioactive, mais à moitié moins radioactive. La masse critique est la quantité nécessaire, de ce matériau fissible, au déclenchement d'une réaction nucléaire en chaîne de fission nucléaire, la bombe nucléaire de Nagazaki ne faisait que 23kg . En raison de la densité du plutonium ca représente un volume d'une petite bouteille d'un demi litre. En matière de plutonium, la dose mortelle pour l'être humain se situe au millionième de gramme.
Les risques sont immenses de continuer dans cette voie, et les problèmes multiples.
On savait déjà, suite à l'actualité post-attentat, qu'un avion s'écrasant sur le centre de retraitement de la Hague (Manche) produirait une pollution égale à 60 ou 70 fois Tchernobyl... En france nous avons choisit l'enfouissement de surface, ou le non enfouissement. En Allemagne, ils mettent les déchets dans les montagnes, malheureusement les futs se percent et ils sont en train de les ressortir de la montagne.
Le nucléaire c'est l'horreur, il faut que cela cesse!
Forum Alternatif Mondial de l’Eau 2012
L'objet du Forum Alternatif Mondial de l'Eau (FAME) est de construire une alternative concrète au VIème Forum Mondial de l'Eau (FME) organisé par le Conseil Mondial de l'Eau, organe des sociétés transnationales et de la Banque Mondiale qui prétend s'arroger la gouvernance mondiale de l'eau.
Depuis des années l'ensemble des mouvements de la société civile qui militent pour la préservation des ressources en eau et leur gestion citoyenne ont élaboré des plateformes, des propositions et des actions, soit au cours de rencontres spécifiques (Forums alternatifs de Florence en 2003 et de Genève en 2005, Alter Forums de Mexico en 2006 ou d'Istanbul en 2009) soit è l'intérieur des Forums Sociaux Mondiaux comme à Porto Alegre, Caracas, Nairobi ou Belem, qui ont servi de base pour l'émergence d'un mouvement pour la réappropriation de l'eau, bien commun de l'humanité. Ce mouvement mondial multiforme a permis la naissance de réseaux nationaux, comme en Italie, ou continentaux, comme en Afrique, et le recul de la privatisation de l’eau en Amérique Latine, en Afrique, en Europe et tout particulièrement en France, berceau des principales multinationales du secteur, notamment avec le retour de Paris en gestion publique.
Ce mouvement a favorisé la reconnaissance de l’accès à l’eau comme l’un des droits humains fondamentaux par l’Assemblée Générale de l’ONU le 28 juillet 2010.
Le FAME entend poursuivre et amplifier ce mouvement par :
L’élaboration et la promotion d’un discours alternatif majoritaire en faveur d’une gestion écologique et démocratique de l’eau,
La poursuite de la recherche de solutions à la crise mondiale de l’eau,
La structuration durable du mouvement.
http://www.fame2012.org/fr/
Et un peu de musique venant de Massilia :
Le 11 mars 2012, réagissons ensemble pour sortir du nucléaire !
Le 11 mars 2011 débutait la catastrophe nucléaire de Fukushima, qui continue aujourd’hui de contaminer le Japon.
Un an plus tard jour pour jour, réagissons pour dénoncer le risque de catastrophe nucléaire en France et pour affirmer, tous ensemble : « sortir du nucléaire, c’est possible ! »
Formons une grande chaîne humaine dans la région la plus nucléarisée d’Europe
C’est en se mobilisant par dizaines de milliers que les Allemands ont obtenu une décision de sortie du nucléaire d’ici 2022.
Nous aussi, nous devons établir un rapport de force avec ces élites coupées des citoyens, qui nous imposent le danger nucléaire. Indignons-nous, mais surtout rassemblons-nous : c’est en étant nombreux que nous sommes forts.
N’attendez pas le 11 mars... Dès aujourd’hui, vous pouvez agir !
C’est dès aujourd’hui qu’il nous faut mobiliser largement en vue de la grande chaîne humaine du 11 mars 2012. Informez tous vos contacts en leur envoyant ce message ; faites connaître la chaîne près de chez vous en commandant gratuitement tracts, autocollants et affiches ; parrainez des maillons de la chaîne pour nous aider à organiser la mobilisation ; ... Rendez-vous sur le site www.chainehumaine.org !
Et dans une ambiance familiale, rejoignez la chaîne humaine entre Avignon et Lyon le dimanche 11 mars 2012. Chaque personne compte, et nous comptons sur vous.
Toute l’équipe du Réseau "Sortir du nucléaire"
Indépendants de l’État à 100 %, nous sommes dépendants de vous.
Soutenez notre action, faites un don ! http://www.sortirdunucleaire.org/don
Diffusez l’information en envoyant ce message à vos contacts !
Chacun-e peut s’abonner pour recevoir nos infos :
http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/rezo-info.html