Conférence de Paul Ariès sur le thème de la décroissance (EPOC/dijon-écolo)
Conférence de Paul Ariès sur le thème de la... par dijon-ecolo
Sous les pavés la Terre!
Fiche du film : http://www.brutprod.com/swf/pdf/ss-paves/ss-paves.pdf
Documentaire environnementaliste, «Sous les pavés, la Terre» survient, dans un contexte devenu très déprimé, comme une bouffée d'esprit rebelle, mais sans caricature ni vaine orientation.
Naviguant entre constats alarmants et propositions concrètes dans les domaines de l'agriculture, du transport et de l'habitat, ce film incite à la réflexion de chacun d'entre nous et, plus encore, à une profonde refondation de nos modes de vie.
Paysans, artisans, scientifiques, philosophes et politiques. Ce film expose leurs combats face aux sarcasmes de leurs pairs, aux pesanteurs des administrations, à la frilosité des banques et des assurances, aux lobbys ne voulant renoncer à leurs confortables avantages.
PNB ? IDH ? quelle mesure du développement humain ?
Titre: PNB ? IDH ? quelle mesure du développement humain ?
Lieu: Mouans-Sartoux, Cinéma La Strada, route de Cannes
Description: PNB ? IDH ? quelle mesure du développement humain ?
Les nouveaux indicateurs, nouveaux indices,
FILM DEBAT ouvert au public dans le cadre des
Etats Généraux de l’Economie Sociale et Solidaire 2011
> de 18h30 - 20h :
projection du film INDICES de Vincent Glenn. en présence de Vincent Glenn
Après les deux premiers films de Vincent GLENN salués largement par la presse comme des oeuvres d’utilité publique qui transforment les spectateurs néophytes en citoyens lucides,
Indices (de développement humain) relaye un mouvement qui conteste la place centrale accordée au PIB (Produit intérieur brut).
Un PIB, boussole de notre monde, mais qui « contribue à nous rendre aveugles », selon le prix Nobel d’économie Joseph STIGLITZ.
> à l’issue du film : en présence de nombreux intervenants, nous vous proposons un débat pour comprendre et proposer un avenir plus solidaire,
où la richesse n’est pas seulement une valeur monétaire et financière, mais d’abord la somme des richesses humaines.
Entrée gratuite
Parking de la gare SNCF
Heure début: 18:30
Date: 2011-04-01
Heure fin: 21:30
Water makes money
Water makes money, mardi, 22 mars 2011 à 20:40 sur ARTE
Partout dans le monde, Veolia et Suez s'approprient la gestion de l'eau. Une enquête rigoureuse et engagée sur les dérives de l'utilisation de l'or bleu à des fins commerciales.
En France, Veolia et Suez gèrent 80 % de l'approvisionnement en eau dans le cadre de partenariats public-privé (PPP) qui voient les communes rester propriétaires des infrastructures et déléguer l'exploitation aux entreprises privées. Mais alors que ce modèle rencontre un indéniable succès à l'étranger, de plus en plus de municipalités tentent de reprendre le contrôle de l'eau dans l'Hexagone.
Recommunalisation
Ce film passionnant retrace, documents à l'appui, le processus qui a conduit à l'abandon des régies publiques, encouragé par "le droit d'entrée" : une pratique consistant, pour les opérateurs privés, à mettre à disposition des communes une confortable somme d'argent afin de s'assurer la conversion au modèle du PPP. Ces mariages d'intérêt ne sont pas restés sans conséquences pour les usagers : factures en constante augmentation, canalisations non entretenues... La longue liste de doléances a incité certaines municipalités, à l'instar de Paris et de Grenoble, à choisir la "recommunalisation" pour protéger la ressource en amont et offrir aux habitants un service de qualité. En France, mais aussi en Allemagne, au Kenya ou au Guatemala, par la voix d'experts tels que Maude Barlow, lauréate du prix Nobel alternatif, d'élus locaux dont Anne Le Strat, adjointe au maire de Paris chargée de l'eau, et de représentants d'associations de consommateurs, Water makes money alerte sur les dangers liés à l'hégémonie de Veolia et Suez, qui se traduit par une présence grandissante des multinationales dans les médias, les partis politiques, les ONG et les universités...
21.55: L'eau en bouteille, pour qui ?
À la lumière de l'exemple anglais, le documentaire dénonce la gestion irresponsable de l'eau potable à l'échelle de la planète.
Comment justifier que les Londoniens boivent de l'eau mise en bouteilles aux îles Fidji quand, dans le même temps, 35 % de la population de ces îles n'a pas d'accès à l'eau potable ? Beaucoup d'Européens ont ainsi renoncé à boire l'eau, pourtant de qualité, qui sort du robinet et consomment de l'eau en bouteilles. La branche prévoit pour les années à venir une croissance de plus de 30 %. Pourtant, les dégâts causés à l'environnement par le développement de ce marché sont plus qu'alarmants : chaque année, le seul transport de ces bouteilles du lieu de production au consommateur produit plusieurs centaines de milliers de tonnes de CO2. De son côté, la fabrication des bouteilles de plastique engloutit 1,5 milliard de barils de pétrole. Et enfin, une bouteille sur quatre seulement est recyclée, le reste polluant les sols et les eaux naturelles pour des siècles. Chère victoire du marketing sur le bon sens.
GASLAND
GAZ DE SCHISTE "STOP GAZ DE SCHISTE"
Gasland est un film documentaire de 2010 écrits et réalisé par Josh Fox. Le film se concentre sur des communautés américaines touchées par le forage du Gaz de Schistes et plus précisément, un procédé connu sous le nom de « fracturation hydraulique ».
En mai 2008, Fox a reçu une lettre d’une société de gaz naturel lui proposant de louer les terres de sa famille à Milanville, en Pennsylvanie pour 100 000 $ afin forer pour trouver du Gaz de Schistes.
À la suite de l’offre, il a cherché des informations sur le forage de gaz naturel dans le schiste Marcellus situé sous une grande partie de la Pennsylvanie, New York, l’Ohio et la Virginie-Occidentale. Il a visité Dimock, en Pennsylvanie où le forage de gaz naturel a déjà eu lieu. À Dimock, il a rencontré des familles capables de faire couler l’eau du robinet avec du feu ainsi que des familles souffrant de nombreux problèmes de santé et craignant que leurs puits d’eau soient contaminés.
Tout au long du documentaire, Fox tendit la main à des scientifiques, des politiciens et des cadres de l’industrie du gaz et finalement s’est retrouvé dans les couloirs du Congrès alors qu’un sous-comité discutait de la loi sur la responsabilité de fracturation et de sensibilisation à des produits chimiques (Fracturing Responsibility and Awareness of Chemicals Act), « un projet de loi modifiant la loi sur la sécurité de l’eau potable (Safe Drinking Water Act) pour abroger certaines exemptions pour la fracturation hydraulique. » La fracturation hydraulique a été exempté de la loi sur la sécurité de l’eau potable et la loi sur la politique énergétique de 2005 (Energy Policy Act).
Gaz de Schiste
Le gaz de schiste (anglais : Shale gas) est une forme de gaz naturel produite à partir des schistes. Ils jouent un rôle de plus en plus important dans l’approvisionnement en gaz naturel aux États-Unis depuis une décennie. On s’intéresse de plus en plus au potentiel gazier des schistes au Canada, en Europe, en Asie ainsi qu’en Australie. Un analyste s’attend à ce que les gaz de schiste constituent la moitié de la production nord-américaine de gaz naturel d’ici 2020.
D’autres analystes s’attendent aussi à ce que le gaz de schiste puisse accroître considérablement les approvisionnements énergétiques mondiaux. Selon une étude du Baker Institute of Public Policy de l’Université Rice, l’augmentation de la production de gaz de schiste aux États-Unis et au Canada pourrait contribuer à empêcher la Russie, le Qatar et l’Iran de dicter des prix plus élevés pour le gaz qu’ils exportent vers l’Europe. L’administration Obama aux États-Unis estime que l’intensification de l’exploitation des gaz de schiste permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Notre poison quotidien [Marie-Monique Robin]
Notre poison quotidien , Comment l'industrie chimique empoisonne notre assietteSelon l'Organisation mondiale de la santé, l'incidence du taux de cancer a doublé au cours des trente dernières années. L'OMS constate une évolution similaire pour les maladies neurologiques (Parkinson et Alzheimer) et auto-immunes, ou pour les dysfonctionnements de la reproduction. Comment expliquer cette inquiétante épidémie, qui frappe particulièrement les pays dits « développés » ? C'est à cette question que répond Marie-Monique Robin dans ce nouveau livre choc, fruit d'une enquête de deux ans en Amérique du Nord, en Asie et en Europe. S'appuyant sur de nombreuses études scientifiques, elle montre que la cause principale de l'épidémie est due aux quelque 100 000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement, et principalement notre alimentation, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour cela, l'auteure décortique le système d'évaluation et d'homologation des produits chimiques, à travers les exemples des pesticides, de l'aspartame et du Bisphenol A, elle raconte les pressions et les manipulations de l'industrie chimique pour maintenir sur le marché des produits hautement toxiques.
Le 15.3.2011 à 20h40 sur Arte.
ARTE+7 LE FILM
Alerte à Babylone [Jean Druon]
Alerte à Babylone est un film français réalisé par Jean Druon sorti en 2005. "Et les coûts de Mégalopolis grandissent encore plus vite que sa taille. À tout prix il faut faire venir plus d'énergie, plus d'eau. Il faut assurer le transport des vivants. Mégalopolis est une cité assiégée, mais elle ne l'est que par sa propre masse. Aussi ne peut-elle être sauvée que par le sacrifice chaque jour plus poussé de ses libertés." Phrase de Bernard Charbonneau, citée en ouverture.
Ce film retrace les conséquences de l'application des nouvelles technologies, comme le nucléaire, les OGM et les nanotechnologies. Bien que ces conséquences portent sur la santé, l'avenir social et les conditions de vie en général, ces techniques sont toujours mises en service sans aucun débat public.
L'auteur fait intervenir des chercheurs en agronomie, des juristes et des penseurs critiques qui déplorent le peu d'informations mises à disposition du public par les "organismes de contrôle" qui, bien souvent, au lieu d'exercer un travail de contrôle véritable qui correspondrait à la responsabilité dont ils revêtent pourtant leur poste, aident au contraire à avaliser des décisions déjà prises par le complexe industriel qui les mandate de manière plus ou moins directe. Certains intervenants plaident en faveur de la mise en place d'une protection juridique des lanceurs d'alerte.
Radio Panik 105.4 FM et www.lapetiteradio.org
Après "Les Français parle aux Français" de 1940 sur la BBC : "Les objecteurs de croissance parlent aux Français". Voici Radio Panik 105.4 FM, une radio libre bruxelloise qui se définit comme radio associative d’expression et de création et comme radio multi- et interculturelle. Radio Panik diffuse une émission que vous pouvez entendre les rediffusions sur http://www.lapetiteradio.org.
En voici le premiers numéros :
N°1 : Les objecteurs de croissance en Belgique [mp3_embed playlst="http://www.lapetiteradio.org/spip/IMG/mp3/objecteurs1.mp3"]
Débat décroissance contre croissance
Débat Décroissance conte Croissance 1
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Débat Décroissance conte Croissance 2
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Débat Décroissance conte Croissance 3
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Débat Décroissance conte Croissance 4
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Débat Décroissance conte Croissance 5
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Solutions locales pour un désordre global [Coline Serreau]
« Les films d'alertes et catastrophistes ont été tournés, ils ont eu leur utilité, mais maintenant il faut montrer qu'il existe des solutions, faire entendre les réflexions des paysans, des philosophes et économistes qui, tout en expliquant pourquoi notre modèle de société s'est embourbé dans la crise écologique, financière et politique que nous connaissons, inventent et expérimentent des alternatives. » Coline Serreau
Site web du film : http://www.solutionslocales-lefilm.com
Dépassant la simple dénonciation d'un système agricole perverti par une volonté de croissance irraisonnée, Coline Serreau nous invite dans « Solutions locales pour un désordre global » à découvrir de nouveaux systèmes de production agricole, des pratiques qui fonctionnent, réparent les dégâts et proposent une vie et une santé améliorées en garantissant une sécurité alimentaire pérenne.
Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de trois ans à la rencontre de femmes et d'hommes de terrain, penseurs et économistes, qui expérimentent localement, avec succès, des solutions pour panser les plaies d'une terre trop longtemps maltraitée.
Pierre Rabhi, Claude et Lydia Bourguignon, les paysans sans terre du Brésil, Kokopelli en Inde, M. Antoniets en Ukraine... tour à tour drôles et émouvants, combatifs et inspirés, ils sont ces résistants, ces amoureux de la terre, dont le documentaire de Coline Serreau porte la voix.
Cette série d'entretiens d'une incroyable concordance prouve un autre possible : une réponse concrète aux défis écologiques et plus largement à la crise de civilisation que nous traversons.