Soirée de lancement d’Alternatiba Alpes Maritimes 2015
Bonjour à toutes et à tous,
Nous avons le plaisir de vous inviter à la soirée de lancement du projet Alternatiba 06, le vendredi 17 avril prochain à 19h à la Zonmé, 7Bis Rue des Combattants en Afrique du Nord, 06000 Nice.
Le projet Alternatiba est un événement unique centré sur les enjeux climatiques avec en ligne de mire la COP 21 qui se déroulera à Paris en décembre 2015. L'objectif est de transformer pendant un weekend un quartier en un formidable village des alternatives où se déroulent ateliers, rencontres, expositions, démonstrations pratiques... Chaque institution, association, organisation, entreprise, citoyen... du territoire y a sa place pour mettre en lumière les solutions possibles répondant à l'urgence climatique.
Tout le monde est concerné !
C'est un événement unificateur, mobilisateur, organisé pour montrer que les solutions concrètes émanent, sans conteste, des alternatives diverses à notre société actuelle.
Cette première réunion du 17 avril vise dès maintenant à réunir les acteurs associatifs du territoire, les institutions, les citoyens et entreprises concernés par cette envie commune (et forte) d’une alternative permettant de lutter contre le changement climatique, et ce afin de pouvoir créer ensemble ce village des alternatives dans les Alpes Maritimes. Pour de plus amples informations sur l’événement, nous vous invitons à visiter le site internet : https://alternatiba.eu/alternatiba06
Participez à l'événement Alternatiba Alpes-Maritimes en vous inscrivant à ce formulaire :
Kamyapoil
L’occupation artistique et festive de Rennes des 3 & 4 janvier ayant due être annulée faute d’une mobilisation suffisante, nous concentrons désormais nos efforts sur la journée du 7 janvier.
Reportez vous à la page PLAN B pour connaître les nouvelles propositions.
Merci de diffuser notre appel à vos amis, dans vos réseaux.
Liberté ? Mon cul !
Les violences d’état se poursuivent, les Kamyapoil continuent.
Prochaine opération : Entrons dans la Rennes.
L’état condamne, emprisonne, mutile, tue, celles et ceux qui tentent de protéger la Terre nourricière, ses habitants, leur Liberté.
Voilà deux ans, Elise et Erwan ont choisi la poésie pour questionner cette violence. Ils ont créé les Kamyapoil. D’autres les ont soutenues, rejointes.
La répression s’abat aussi sur les pacifistes mais ne suffit pas à les arrêter. Les Kamyapoil sont au contraire toujours plus nombreuses et déterminées.
Mercredi 7 janvier 2015, deux ans après leur passage au tribunal de Saint-Nazaire, un an après que la police ait éborgné trois manifestants, deux mois après que les gendarmes aient tué au Testet, les Kamyapoil se rassembleront à la cour d’appel de Rennes pour encore construire la paix.
20Q ? Non, des milliers !
Vous trouverez dans ces pages le récit des évènements et les outils nécessaires pour participer à la préparation du procès en appel. D’ici là, n’hésitez pas à faire circuler ces informations et à nous contacter pour proposer votre soutien.
DEMOKRATIA : Un documentaire citoyen pour balayer le vieux monde. [Pablo Girault et Thierry Kruger]
Soutenez la sortie du film : Démokratia : http://fr.ulule.com/film-demokratia/
SYNOPSIS
Demokratia, réalisé par Pablo Girault et Thierry Kruger, est un documentaire résolument citoyen. En explorant les champs politique et médiatique, fondations de nos « démocraties de marché », avec en toile de fond la lutte contre l’aéroport de Notre Dame des Landes où débat démocratique et information plurielle sont escamotés, les auteurs proposent, à travers un recueil de paroles d’hommes et de femmes libres, de réfléchir ensemble à la fondation d'une véritable démocratie.
Demokratia - BANDE ANNONCE par docutopie
INTENTION
Parce qu'un élu, qu'il soit député ou maire, doit être bien informé pour concourir à l’élaboration de bonnes lois.
Parce qu'un journaliste qui ne chercherait rien d’autre que la juste information concourrrait à former des citoyens éveillés désignant par là même des élus responsables.
Ce cercle vertueux où pouvoirs et médias seraient honnêtes et irréprochables nous amène à ce qui s'y oppose : pouvoir des lobbys, sentiment d'impuissance, hypertrophie de l'exécutif quant au politique, pression des intérêts marchands, des élus locaux, poursuite du buzz, manque de recul historique ou vacuité de l'analyse.
Pour faire ce film, les auteurs ont rencontré des personnes entières, déterminées à ce combat de tous les jours pour la liberté d'opinion, pour plus de justice sociale, pour que Nature et Humanité se réconcilient sans se détruire. Tous ont en commun d'être conscients de leurs responsabilités et des contradictions traversant leur démarche, mais en fin de compte, ils ont tracé leur chemin d'intégrité et de cohérence vers une société sachant se regarder en face, où personne n’est laissé sur le bord du chemin.
Le spectateur-citoyen retrouvera des élus, des journalistes, qui ont choisi de refuser de se contenter du monde qui les entoure et de s'en faire les aimables épistoliers, en préférant être au service du bien commun sans être formatés par la pensée unique.
Pour donner corps à notre démarche et sens à nos propos, nous sommes allés à la rencontre de Pierre Carles et René Vautier, deux des plus grands documentaristes français, pour un cinéma qui « a choisi son camp », tandis qu'un historien rappellera les origines de la démocratie et ce que nous semblons avoir perdu en chemin depuis la pensée des Lumières.
Dans une logique imparable mais non forcément attendue, le montage de ce film procède par touches, toujours soucieux de mettre en valeur le sujet par les choix des lieux et du cadrage. De plus, il emprunte sur la forme à nos deux précédentes réalisations, Sous les pavés, la terre (2009) et La possibilité d'être humain (2013). Un soin particulier a été apporté à la musique et le texte en voix off a été confié à Raoul Vaneigem.
DEMOKRATIA est un documentaire à la fois populaire et exigeant. Il est un de ces films nécessaires, comme la boussole par jour de tempête.
SACRÉE CROISSANCE ! [Marie-Monique Robin]
Le nouveau documentaire de Marie-Monique Robin est avant tout l’histoire d’une cassure. Entre les décideurs politiques et une partie de la population réticente à se laisser imposer les doxas libérales, les visions du monde tel qu’il doit être mené semblent irréconciliables. Lorsque les premiers ne jurent que par la croissance, répétant le terme comme une formule incantatoire, les seconds espèrent en d'autres solutions et réfutent le productivisme et la consommation à tout prix. Les experts intervenant dans le film sont formels : sous la forme qu'elle a connue au XXe siècle, la croissance est terminée, elle ne reviendra pas. De nombreux paramètres ne leur laissent aucun doute, dont la fin de l’ère des énergies bon marché ou la dépendance croissante à la dette.
Fous et insoumis
"Celui qui pense qu’une croissance exponentielle infinie est possible dans un monde fini est soit un fou soit un économiste" déclare un... économiste, non sans humour. Alors, pendant que les États s’enfoncent dans la crise, des insoumis créent les prémices d’une société fondée sur la sauvegarde écologique et le développement durable. Avec Sacrée croissance !, la réalisatrice présente une sélection d’initiatives réussies et de modèles alternatifs viables. Son film élargit ainsi le champ des possibles en montrant comment on peut réfuter en action, et pas seulement en paroles, le modèle économique dominant. Avec une idée force : face au gaspillage mondial, la réponse doit être locale et solidaire. À Toronto, une coopérative de fermiers produit des légumes bio près du centre-ville et vise la souveraineté alimentaire. À Rosario (Argentine), on lutte contre l’exclusion sociale en fertilisant d'anciennes décharges pour embaucher des maraîchers débutants. Certains villages népalais s’approchent de l’autosuffisance énergétique grâce au biogaz et à la micro-hydro-électricité. Au Brésil ou en Bavière, des banques communautaires et des monnaies locales bouleversent le rapport à l’argent d’un public qui se fait "prosommateur" (producteur et consommateur). Quant au Bhoutan, il développe une politique publique révolutionnaire instaurant le concept du "Bonheur national brut" (BNB). "L’abondance matérielle finira par s’arrêter", rappelle un des intervenants. Et c'est avant qu'il faut changer de paradigme économique, insiste Marie-Monique Robin.
Murray Bookchin – The Forms of Freedom
Les formes de libertés de Murray Bookchin Conférence donnée en mars 1985 à San Francisco en ouverture d'une table ronde sur le thème "The Forms of Freedom".
Au Rassemblement ZAD du Testet, le 25 Octobre avec le MOC
Le MOC tiendra un stand ; vous pourrez y retrouver nos publications, prendre des contacts…
Au nom de quoi sacrifie-t-on notre patrimoine écologique ?
Le barrage serait construit le long de la forêt de Sivens, en aval du lieu-dit de Barat, sur des Espaces Boisés Classés (EBC) et dans la zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). 29 hectares, soit 60% de l’emprise d’acquisition de la retenue (48 ha), sont boisés (friches, peupleraies, vergers de résineux, taillis…). Il ennoierait la zone humide du Testet, dernière zone humide d’importance du bassin versant du Tescou, qualifiée par la DREAL comme faisant « partie des zones humides majeures du département du point de vue de la biodiversité ». D’une capacité établie à 1,5 millions de m3, les mesures approximatives de la retenue seraient : 1,5 km de longueur, 230 m de large, 48 ha de surface d’emprise du projet, environ 4 m de profondeur à plein. La hauteur du mur au-dessus du terrain naturel serait de 12,8 m.
Ce projet, dans les cartons depuis environ 40 ans, est officiellement porté par le Conseil Général du Tarn, maître d’ouvrage, mais surtout par son maître d’ouvrage délégué, la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG), une Société d’ Economie Mixte chargée des aménagements hydrauliques et du « développement économique des zones rurales » (sic) dans le Sud-Ouest. C’est elle qui a mené une étude en 2001 (prétendument actualisée en 2009) et qui a conclu à la nécessité de construire ce barrage … dont elle propose tout naturellement de prendre en charge la construction. Les raisons invoquées (prétendument d’intérêt général) sont de deux ordres. D’une part, 30 % du volume de la retenue servirait au soutien au débit d’étiage du Tescou (débit minimum pour diluer les polluants). D’autre part, 70 % serait destiné à l’irrigation, au profit d’une vingtaine d’agriculteurs de la vallée du Tescou (avec prédominance du maïs, céréale particulièrement gourmandes en eau).
La pollution mise en avant concerne la laiterie Sodiaal à Montauban dont les rejets « hors-normes » évoqués en 2001 sont désormais maîtrisés depuis 2006 selon le Collectif du Testet. La CACG n’a pas tenu compte de cette nouvelle donnée dans son rapport présenté aux autorités et considéré comme l’étude de référence ayant entraîné le vote favorable des élus. Plus grave encore, la CACG n’a pas actualisé les besoins agricoles en irrigation dans son rapport de 2009. Elle affirme pourtant dans le Rapport d’enquête publique de 2012 que « la surface irriguée a diminué de 38% » sur « les communes du bassin du Tescou à l’amont de Montauban entre 2000 et 2010 ». Tendance qu’on retrouve d’ailleurs à l’échelle régionale, puisque les données officielles concernant Midi-Pyrénées montrent une baisse de la surface irriguée (- 23%) entre 2000 et 2007. Reconnaître ces deux faits reviendrait à avouer l’inutilité du projet de barrage aujourd’hui, en 2014. Or, confronté à la baisse des financements publics et à la diminution des contributions des irrigants (qui prélèvent moins d’eau), la CCAG a besoin de ce gros chantier pour asseoir son propre développement.
Un projet inutile et imposé au mépris des règles démocratiques de base !!!
sources : http://www.les-oc.info/2014/10/testet-25-octobre-avec-moc/
Anti Gaz de schiste au Sud de la France : Une mobilisation qui ne faiblit pas
Entre Argeliers et Mirepeisset, ils étaient plusieurs centaines à s’être retrouvés pour une marche contre les projets de travaux de recherche de gaz de schiste. Dans le collimateur : le permis de recherche d’hydrocarbures liquides ou gazeux dit des "Plaines du Languedoc" attribué par l’État, en 2009, à la société Lundin Petroleum. "Il expire en octobre prochain, explique Ania, du collectif Orb-Jaur. Nous nous mobilisons pour qu’il ne soit pas renouvelé !"
« Çà fait plus de deux cent ans qu’ils en cherchent, s’il y avait du pétrole, ils l’auraient déjà trouvé », rappèle-t-elle. En effet loin des projecteurs, le 2 octobre 2009, l’État accordait un permis d’exploration à la société Lundin International SA, filiale du groupe Lundin Petroleum, sur une superficie de 2 348 km², le permis des « Plaines du Languedoc ». De la Montagne Noire à Pézenas, en passant par les plages méditerranéennes et les coteaux du Minervois, l’entreprise était libre de procéder à l’exploration du sous-sol pour y déceler gaz ou pétrole dans les couches schisteuses. Comme ailleurs en France ce permis a été accordé sans aucune consultation de la population ni des élus. En témoigne une mobilisation des maires à ce rassemblement; Les maires de Bize (Alain Fabre), de Ginestas (Georges Combes) et d’Argeliers (Bernard Naudy) étaient présents. «Je n’ai vu personne venir à la mairie me demander l’autorisation. Je suis venu soutenir cette marche car je m’élève contre la fracturation et je ne donnerai pas l’autorisation. Ce serait une catastrophe pour le territoire, le tourisme et l’environnement» avance Alain Fabre.
Or les permis d’exploration ne durent que cinq ans et celui de Lundin Petroleum expire à l’automne 2014. Ruben, militant de la commune de Quarante, explique : « Début juin, les maires des communes d’Argeliers, Montouliers et Ginestas ont été approchés par la société Athemis France, chargée par la multinationale Lundin Petroleum de réaliser des relevés sismiques ». Puis un représentant de la multinationale est venu voir les élus pour les rassurer : « Nous ne sommes là que pour faire des relevés ».
Les pétroliers refusent de s’expliquer
Joint par téléphone, Alain Hontanx, directeur des opérations techniques chez Athemis France, répondait au journal Reporterre que « pour le moment, nous n’avons aucun mandat de la part de Lundin Petroleum. Adressez vous directement à eux sur toutes ces questions ». Mais l’entreprise suédoise ne souhaite pas nous parler.
Les sondeurs se taisent donc. Ce sont les militants qui expliquent de quoi il retourne. Ainsi, Pierre, de Pézenas (Hérault) détaille le procédé : « Il s’agit d’amener de gros camions, des sondeurs sismiques, aux quatre coins d’un terrain de plusieurs hectares. Ces camions envoient des ondes dans le sol en le frappant avec une masse mécanique et des ordinateurs récupèrent les échos des vibrations, un peu comme un sonar ». Ainsi l’on reconstitue les différentes couches du sol et l’on peut repérer gaz ou pétrole enfoui.
Mais tambouriner ainsi par terre n’est pas sans risque. En Pologne et en Roumanie, notamment, de telles actions ont pu ainsi provoquer des fissures importantes dans des habitations ainsi que l’effondrement de routes. « Pour l’éviter, dit Ruben, la communauté de communes Canal-Lirou, les municipalités d’Argeliers et de Quarante, entre autres, ont pris des arrêtés d’interdiction de la circulation des poids-lourds et de ces engins de mesures sismiques. »
Selon lui, « ces mesures constituent la troisième phase du plan de l’entreprise. Elle a déjà recoupé toutes les données historiques et préparé de nouvelles hypothèses. Et la phase suivante sera logiquement celle de l’exploration ». Et cette fois les dégâts sont beaucoup plus importants puisque pour mener l’exploration du sous-sol, on utilise la même technique que pour l’exploitation : la fameuse fracturation hydraulique.
Un procédé interdit… en théorie
La loi de 2011 est censée interdire ce procédé de fracturation hydraulique consistant en l’envoi de produits chimiques à haute pression à mille mètre sous terre pour faire exploser la roche et libérer le gaz ou le pétrole. Interdite donc, sauf en cas de recherche ou d’étude sur les quantités disponibles. Ania ajoute : « Suite à la loi, tous les industriels ont dû réaliser un rapport sur leurs pratiques expliquant qu’ils ne recourraient pas à la fracturation hydraulique et qu’ils se contenteraient d’exploitation conventionnelle » sans devoir fracturer la roche, juste en récupérant le pétrole qui jaillit du sous-sol.
Sauf que dans son rapport sur le permis des Plaines du Languedoc, l’industriel suédois précise que ses explorations pourront être réalisées « à quelques milliers de mètres de profondeur ». Pour les opposants, c’est la preuve que les intentions de l’entreprise sont tout autres.
sources : http://stopgazdeschiste.org et L’indépendant.fr la Dépêche et lire la suite sur Reporterre: Lundin, un pétrolier qui s’entend avec les dictatures
Gaz de schiste, histoire d’une imposture [Jacques Ambroise]
Ce livre sur la guerre qui se déroule entre industriels et protection de l’environnement nous apporte un témoignage remarquable : ce n’est pas parce qu’on est un simple citoyen qu’on est incapable de discerner le vrai du faux dans les histoires qu’on nous raconte. Au contraire, en tant que militant de base, Jacques Ambroise nous démontre les conflits d’intérêt qui font que le débat sur les gaz de schiste est complètement faussé par l’aveuglement idéologique des tenants du business as usual. Ainsi de l’Assemblée nationale qui a organisé une table ronde sur la réforme minière avec la présidente de la Fédération des minerais, le président de l’Union française des industries pétrolières (UFIP) et le directeur général du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Les deux parlementaires ayant présenté un rapport sur les gaz de schiste sont qualifiés par la sénatrice socialiste Laurence Rossignol de « Dupont et Dupont » fascinés par les technologies et allergiques au principe de précaution. C’est Jacques Ambroise qui nous informe de l’existence de la commission Tuot qui planche sur le code miner, ce ne sont pas les médias : zéro occurrence sur lemonde.fr.
Ce livre doit donc être lu par tous les citoyens qui n’acceptent plus qu’on décide en leur nom du contenu de la nécessaire transition énergétique. Comme l’exprime Jacques Ambroise, « la société civile doit faire entendre sa voix
Rencontre nationale des jardins partagés
Le 4 juillet 2014 à Lille
Le réseau national des jardins partagés (JTSE) invite jardiniers et porteurs de projet à participer à une journée de rencontres et d’échanges entre acteurs des jardins partagés.
Retrouvons-nous au Jardin des Drôles d’Waz’eaux à Lille le 4 juillet pour enrichir ensemble la dynamique nationale de nos jardins, accueillis par l’association des Amis des Jardins Ouverts et Néanmoins Clôturés (A.J.O.N.C.)
Au programme
- Echanges d’expériences
- Présentation de la charte La terre en partage
- Repas partagé (apportez une spécialité de votre région à manger ou à boire) - Four à pain - Musique
- Découverte de jardins partagés à vélo, en métro ou en voiture
- Fête en soirée au Jardin des Re)trouvailles (lectures musicales, grillades, bar bio...)
- Possibilité de prolonger la journée le lendemain avec d’autres fêtes sur d’autres jardins...
Informations
- Le vendredi 4 juillet 2014 à partir de 10h
- Jardin des Drôles d’Waz’eaux, rue de l’Hôpital St-Roch à Lille-Wazemmes.
- Possibilité d’être hébergé chez l’habitant
- Renseignements sur l’accueil et la programmation : A.J.O.N.C - 03 28 550 330